La Corse exerce et a exercé une intense fascination. Il s’agit d’un monde en soi, d’un petit bout de terre, d’une île sublime perdue en pleine mer où les us et coutumes, les règles et les lois du continent, perdent une part de leur autorité.
Selon Saint-Augustin, « le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page ». Les écrivains du xixe siècle ont bien retenu la leçon : la Corse est toute proche, mais si différente, étrange et étrangère…