1905, dans une vallée de Haute-Soule, Petti Kharriki affronte les premiers jours du XXe siècle avec du plomb dans l’aile. Confronté à l’enseignement obligatoire en français, c’est un peu son cœur qu’on lui arrache, et un peu l’âme de son peuple qui fond sous les quolibets et les vexations. Sa langue meurt, et c’est tout herria qui prend l’eau.
La 3eme ré-édition du roman doux-acide d’Anne Marie Lagarde