voyage sur la côte d’Azur

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Depuis 1860, la fascination des écrivains pour la Méditerranée ne s’est pas démentie : sur les pentes sublimes, les pins d’Alep et les tamaris regardent la mer, la mer «si belle, si bleue, si calme, si souriante» (Flaubert), ou comme le dit Hugo la «mer illustre et rayonnante, éclairée par l’histoire et par le soleil».